Beauceville fait une promesse d’achat pour l’édifice de DUVALTEX
– La «MOORE» pourrait être reprise par son milieu.
Beauceville, 2 avril 2024 / Afin de relocaliser et centraliser principalement ses services administratifs, la caserne d’incendie et des organismes communautaires, la Ville de Beauceville souhaite acquérir l’édifice du 662, 9e Avenue appartenant à l’entreprise bien connue DUVALTEX. En somme, la Ville souhaite se doter d’un tout nouveau «Centre de services publics et communautaires».
Lors de la séance du 2 avril 2024, le conseil de ville a donc mandaté par résolution son directeur général,
M. Serge Vallée, pour la signature d’une promesse d’achat. C’est une étape officielle qui engage les deux parties dans des échanges et procédures administratives et légales dans l’objectif de procéder à la vente/acquisition de l’édifice.
Au cours des derniers mois, l’administration municipale a mandaté des professionnels pour faire l’analyse de cet édifice autrefois propriété des Formules d’affaires MOORE mieux connue sous «MOORE Business forms» où des centaines de Beaucevillois ont travaillé du milieu des années 50 jusqu’à sa fermeture en 1993.
«Les analyses effectuées se sont avérées positives quant au projet de requalification de l’édifice pour répondre aux besoins mentionnés par l’administration municipale, l’édifice a été bien entretenu par DUVALTEX et les sommes requises pour construire uniquement un nouvel hôtel de ville et une nouvelle caserne s’avéreraient beaucoup plus dispendieuses que les sommes actuellement envisagées pour en faire l’achat et le réaménagement, donc, pour la Ville, déposer une promesse d’offre d’achat est une décision très censée et le projet serait très profitable pour le milieu si le tout se concrétisait», mentionne Serge Vallée qui chapeaute le projet et qui ne peut en dire plus pour le moment, mais qui promet d’informer la population de l’avancement du dossier.
Il ajoute que «À la suite de l’inondation majeure de 2019, sans compter celle de 1991, où l’hôtel de ville et la caserne avaient subi de lourds dommages et des coûts de réparation très importants, en plus de celle de 2014 qui avait affecté une fois de plus la caserne, et, par-dessus tout, l’arrivée des nouvelles normes des zones inondables, la Ville se devait de saisir toute opportunité pouvant se présenter afin de réinstaller ou reconstruire ses deux infrastructures».
Nous invitons la population à suivre nos communications concernant ce dossier par le biais de notre site Internet et des séances du conseil à venir.