Pour participer à l’effort collectif
La décision de collecter les matières organiques découle des orientations du gouvernement du Québec qui visent leur bannissement des sites d’enfouissements d’ici 2025. Toutes les municipalités québécoises doivent atteindre l’objectif gouvernemental. Politique québécoise de gestion des matières résiduelles.
Pour protéger l’environnement
La valorisation des matières organiques par le compost, le digestat ou le biogaz est une saine méthode de gestion de nos matières résiduelles. Le bannissement des matières organiques des sites d’enfouissement contribue à réduire la pollution (méthane et lixiviat) et à lutter contre les changements climatiques, puisque le procédé de compostage émet moins de GES que l’enfouissement.
Pour lutter contre les GES et diminuer l’enfouissement
Plus de 45% du contenu de notre poubelle est composé de matières organiques (résidus de jardin, restes de table, etc.), soit, soit 162 kg par personne par année, et peut donc être détourné des sites d’enfouissement. Ces matières sont chargées d’humidité, pèsent lourd et représentent une grande dépense pour les citoyens..
De plus, en se décomposant dans les sites d’enfouissement, les matières organiques produisent un gaz composé principalement de méthane (gaz à effet de serre GES), dont le potentiel de réchauffement planétaire est 25 fois plus élevé que celui du dioxyde de carbone.
D’ailleurs, selon RECYC-QUÉBEC, plus de la moitié de notre poubelle à la maison est constituée de matières organiques (résidus de jardin, restes de table, etc.), soit 162 kg par personne par année.
Autant mieux y adhérer dès maintenant !